Bleu – une histoire d'amour triste(1)
J’ai lu une histoire d’amour en chinois qui me touche bien.
Combien de gays et de lesbiens, à cause de la pression d’autrui, ne peut s’aimer à l’interieur...
Dans ma vie universitaire, j’ai eu trois petites amies en total, oui, c’étaient des filles
Mais je n’aime qu’une personne, c’était un garçon , un garçon très beau pour moi, qui ressemble beaucoup à un héro dans une série de dessins animés que j’aime bien.
On était de bons amis pour deux ans.
On jouait les jeux vidéos ensemble
On jouait le CS, ou participait dans le même équippe
Mais subitement il est arrivé le SRAS
Et ce qui a accompagné le SRAS pour moi c’était une amour profonde mais secrète dans mon coeur
On est interdit de sortir pendant ce temps
Et cela m’a donné l’opportunité de rester avec lui tous les jours et les soirs
Tous les jours, il m’a réveillé
Après le petit déjeuner, on est allé surfer sur l’Internet
Tous les après-midis, on allé à la classe pour faire les études
Et le soir on faisait les appelles pour demander de la bière
La nuit, il s’allongeait sur mon lit et jouait le GBA
Je restais dans ses bras en chantant
Tous nos amis de notre chambre ont fait des plaisanteries en nous cinsidérant comme deux gays
On l’a reconnu en riant et même en appelant mutuellement « mari »et « femme »
Mais je sais bien que je le suis, mais lui, il ne l’est pas.
Il faisait chaude dans la chambre où on surfait sur l’Internet
Et il m’a apporté tout le temps les boissons glacés et les esquimaux
Quand on faisait des études, je ne voulais me concentrait que par tirer sa main furtivement
Tous les jours, après le dîner, c’était pour lui l’heure d’appeler sa petite amie d’une autre école
Chaque fois je les entendais parler par le téléphone, j’étais très triste
Peu temps après il semblait qu’il ait pris conscience de cela
Et puis tous les jours il s’éloignait de moi pour faire les appelles
Et après les coups de téléphone, il toujours me frappait à la tête pour me consoler
Un jour, pendant la nuit, je l’a serré dans mes bras
Et lui a dit que j’aimais bien cela
Il n’a rien dit
Justement m’a serré plus étroitement
Et je lui ai fait un bisou sur le visage furtivement
Après un temps un peu long
Il m’a demandé à voix basse, « tu n’es pas gay, n’est-ce pas ? »
J’ai dit,
« c’est toi qui es gay. »
Puis je l’a chassé de mon lit.
Mais après, toutes les nuits, avant qu’il ne rentrait chez son lit
Il me faisait toujours un petit bisou selon ma demande
Les jours où on restait ensemble, je me sentais très heureux
Même si je m’ordonnais tout le temps de ne pas l’aimer
Je trouvais que je ne pouvais pas m’empêcher de l’aimer
( à continuer)